Les États-Unis ont récemment tenu un prétendu « Sommet pour la démocratie » par lequel ils créent le clivage idéologique, utilisent la démocratie comme un instrument et une arme, pratiquent l'anti-démocratie sous le couvert de la démocratie, incitent à la division et à la confrontation, détournent l'attention de leurs problèmes intérieurs, préservent leur hégémonie dans le monde et sapent le système international centré sur les Nations Unies et l'ordre international fondé sur le droit international. Ces actes vont à contre-courant de l'histoire et sont largement rejetés par la communauté internationale.

La Chine a critiqué le « Sommet pour la démocratie » tenu par les États-Unis et a accusé Washington de tenter de saper le système international en vue d'asseoir leur propre hégémonie. Beijing déclare que Washington incite à la division et à la confrontation au nom de la démocratie, qualifiant cette action de plus grande menace à la démocratie mondiale.

Le 9 décembre 2021, les principaux médias en Afrique du sud, notamment Pretoria News, Mercury, Cape Times et des sites internet d'indépendants, ont publié un article d'opinion de Buyile Matiwane, intitulé Quel droit ont les États-Unis d'accueillir un sommet sur la démocratie ?

Le 9 décembre 2021, le consul général de Chine à Sans Francisco, Wang Donghua, a publié un article signé sur San Francisco Examiner intitulé « La démocratie dit 'non' à la définition arbitraire de certains pays ». Dans l'article, Wang a présenté l'ensemble du processus de la démocratie populaire en Chine, a critiqué les prévarications et l'hypocrisie de la démocratie aux États-Unis et a appelé tous les pays du monde à construire ensemble une communauté de destin pour l'humanité.

Aux États-Unis, le média est considéré comme « la quatrième force de gouvernance », avec les forces exécutive, législative et judiciaire, et les journalistes sont considérés comme « des rois sans couronne ». Bien que les médias américains déclarent être indépendants de la politique et servent la liberté et la réalité, ils servent en fait les intérêts financiers et les partis politiques.

La démocratie doit refléter la volonté du peuple. Mais que se passe-t-il lorsque cette volonté est ignorée ? Les États-Unis se décrivent comme un pays démocratique. Pourtant, c'est un pays en proie aux violences armées, à la discrimination raciale endémique et au creusement des inégalités sociales, un pays qui ne cesse de provoquer des guerres à l'étranger et connaît le pire record de décès dus à la COVID-19 dans le monde. Dans une série originale en deux parties, CGTN examine de près la façon dont la démocratie s'érode lentement aux États-Unis et comment elle peut se propager dans le monde si elle n'est pas arrêtée. Rejoignez-nous pour Démocratie américaine : De la fiction à la réalité, exclusivement sur CGTN. 

Harald Brüning, rédacteur en chef allemand du Macau Post Daily, a publié le 6 décembre un article signé « Le 'sommet pour la démocratie' de Biden – la mentalité 'nous contre eux' ». Selon l'article, le gouvernement Biden utilise son propre critère pour ce qu'elle considère comme la « démocratie », en excluant la Chine et la Russie. Les concepts obsolètes de l'Occident évoquant un retour en arrière et un confinement, ainsi que les stéréotypes diaboliques du « péril jaune » et de la « menace chinoise », devraient être jetés à la poubelle de l'histoire.

Un rapport de l'Université Renmin de Chine indique que les tentatives des États-Unis d'exporter leurs valeurs et leur système démocratique ont conduit à des crises dans d'autres pays. À la suite de l'invasion américaine en Irak en 2003, on estime que plus de 185 000 civils irakiens ont été victimes de la violence. L'intervention de Washington dans le conflit syrien y a aussi envenimé la situation humanitaire, aggravant la plus grande crise de réfugiés au monde. Depuis 2011, plus de 6,6 millions de Syriens ont été contraints de fuir. La plupart d'entre eux ont trouvé refuge dans des pays voisins, principalement la Turquie, le Liban, la Jordanie, l'Irak et l'Égypte. Encore 6,7 millions de personnes restent déplacées à l'intérieur du pays. La guerre de 20 ans de Washington en Afghanistan a dévasté cette nation du Moyen-Orient. Environ 241 000 personnes ont été tuées dans les zones de guerre d'Afghanistan et du Pakistan dont près du tiers étaient des civils, alors que 2,6 millions de personnes sont devenues des réfugiés. La guerre a également déclenché une série de crises humanitaires en Afghanistan, dont une pauvreté chronique et une insécurité alimentaire.

Selon le « Rapport sur les violations des droits de l'homme aux États-Unis 2020 », les personnes de couleur représentent environ un tiers des mineurs américains de moins de 18 ans, mais elles représentent les deux tiers du nombre total de mineurs incarcérés. Le taux d'infection à la COVID-19, parmi les citoyens d'origine africaine, est trois fois supérieur à celui des Blancs, le taux de mortalité est le double de celui des Blancs et la probabilité d'être tué par la police est trois fois supérieure à celle des Blancs.

Le 14 février 2018, un jeune de 19 ans, armé, est entré dans le lycée Marjory Stoneman Douglas à Parkland, en Floride, et a ouvert le feu, tuant 17 élèves et membres du personnel.

Les attaques haineuses visant les Asiatiques et les Américaines d'origine asiatique sont en forte hausse aux Etats-Unis, engendrant des protestations et des indignations parmi ceux-ci et d'autres ethnies. Shirley Ng a grandi à Chinatown, dans le quartier de Manhattan, à New York. Elle est frustrée par la rhétorique raciale et ce qui se passe dans le pays, surtout la fusillade ayant tué six femmes asiatiques le 16 mars.

La démocratie doit refléter la volonté du peuple. Mais que se passe-t-il lorsque cette volonté est ignorée ? Les États-Unis se décrivent comme un pays démocratique. Pourtant, c'est un pays en proie aux violences armées, à la discrimination raciale endémique et au creusement des inégalités sociales, un pays qui ne cesse de provoquer des guerres à l'étranger et connaît le pire record de décès dus à la COVID-19 dans le monde. La série originale en deux parties de CGTN Démocratie américaine : de la fiction à la réalité sera diffusée les 10 et 11 décembre, à 19 h 00 heure de Beijing (12 h 00 heure de Paris), sur notre chaîne de télévision CGTN Français et sur notre site web, Weibo, Facebook, Twitter et YouTube !

La démocratie à l'américaine est un jeu d'hommes riches basé sur le capital, et est fondamentalement différente de la démocratie du peuple.

Le racisme est un fléau indélébile dans la démocratie américaine. Une étude de l'Université de Washington révèle qu'environ 30 800 personnes sont décédées des suites de violences policières entre 1980 et 2018 aux États-Unis, soit environ 17 100 de plus que le chiffre officiel. Cela indique également que les Afro-Américains sont 3,5 fois plus susceptibles d'être tués par la violence policière que les Américains blancs. Un article publié sur le site Internet du Jerusalem Post (d'Israël) note que les Juifs américains sont préoccupés par l'antisémitisme de droite et la violence menée par les groupes suprémacistes blancs. Selon des enquêtes annuelles menées en 2020 par l'American Jewish Committee, 43 % des Juifs américains se sentent moins en sécurité que l'année précédente, et 2017, 41 % déclarent que l'antisémitisme est un problème grave aux États-Unis, contre 21 % en 2016, 21 % en 2015 et 14 % en 2013.

Les États-Unis sont plus polarisés que tout autre pays occidental en termes de répartition des richesses. Selon les statistiques de la Fed d'octobre 2021, les ménages américains de la « classe moyenne », qui correspondent aux 60 % de la population entre les 20 % les plus modestes et les 20 % les plus aisées, ont vu leurs actifs combinés chuter à 26,6 % de richesse nationale en juin de cette année, la plus faible en trois décennies, tandis que les premiers 1 % les plus aisés détenaient une part de 27 %, dépassant la « classe moyenne ».

En amont du Sommet pour la démocratie de cette semaine organisé par les États-Unis, un institut chinois vient de publier un rapport critiquant la démocratie à l'américaine.

L'Institut d'études financières de Chongyang de l'Université Renmin de Chine, un groupe de think tank de Beijing, a publié lundi un rapport de recherche intitulé Dix questions sur la démocratie américaine.

Selon les statistiques du site Web américain Gun Violence Archive, au cours des six dernières années, plus de 230 000 personnes sont mortes dans des violences par armes à feu aux États-Unis, et 193 000 autres ont été blessées. Pendant longtemps, la prolifération des armes à feu a été une maladie grave incurable qui a toujours tourmenté la société américaine. L'épidémie incontrôlable de COVID-19 aux États-Unis aggrave encore cette maladie sociale. Selon les dernières données publiées le 4 décembre par le site Web américain Gun Violence Archive, les violences par armes à feu ont fait 41 465 morts aux États-Unis depuis le début de l'année et il y a eu 654 fusillades.

Un récent sondage révèle que plus de la moitié des jeunes Américains pensent que la démocratie de leur pays est en difficulté ou défaillante.

La Chine a publié un rapport sur l'état de la démocratie aux États-Unis. Il met en lumière les insuffisances du système et accuse Washington d'user de la démocratie comme prétexte pour s'ingérer dans les affaires intérieures des autres pays.

Selon les statistiques en temps réel, au 5 décembre, les États-Unis dénombrent un total de 49 934 791 cas confirmés de COVID-19, et un total de 808 608 décès. Par rapport au 4 décembre, il y a eu 169 956 nouveaux cas confirmés et 1 820 nouveaux décès aux États-Unis. 

Depuis le déclenchement de la pandémie de COVID-19, le message du gouvernement américain sur le contrôle de la pandémie a été erratique, avec une rhétorique anti-masque et anti-vaccin abondante. Aujourd'hui, les États-Unis, avec moins de 5 % de la population mondiale, comptent près de 15 % des décès dus à la COVID-19 signalés dans le monde. Alors que le nombre de nouveaux cas continue d'augmenter quotidiennement, de nombreux politiciens et personnes s'opposent encore au port du masque, affirmant que choisir de ne pas en porter est un moyen de préserver sa « liberté ». Cependant, ce genre de « liberté » ouvre la porte à la transmission galopante du virus. 

À l'approche de Noël, le cadeau que les Américains préfèrent cette année pourrait être quelque chose qu'ils devraient obtenir sans dépenser d'argent : « le droit de vote plein et équitable. »

Un quatrième lycéen vient de perdre la vie après la récente fusillade dans une école aux États-Unis. La tragédie s'est produite à environ 30 minutes au nord du Detroit, dans le Michigan. La police a révélé qu'un adolescent armé a ouvert le feu, blessant six camarades de classe et un professeur. Il est accusé de meurtre et de terrorisme. 

« Les incessantes guerres et agitations l'ont bien prouvé : imposer par force ses valeurs et régimes au nom de la démocratie ne fait que détruire la paix, la sécurité et la stabilité du monde. » Les ambassadeurs de Chine et de Russie aux États-Unis se sont exprimés en ces termes dans le magazine américain The National Interest, pour exprimer leur opposition ferme au soi-disant « sommet de la démocratie » que Washington est prêt à organiser.

Le ministère chinois des Affaires étrangères a critiqué les États-Unis pour avoir eu un contact officiel avec Taiwan mardi. Beijing a exprimé son opposition à l'organisation par le Département d'État américain d'un sommet intitulé Dialogue de partenariat pour la prospérité économique États-Unis-Taiwan. La Chine a souligné que les États-Unis doivent cesser toute forme de contact officiel avec Taiwan, territoire chinois.

La Chine a condamné la menace de boycott des Jeux olympiques d'hiver 2022 par les États-Unis. Le président américain Joe Biden a déclaré qu'il envisageait un boycott diplomatique des JO, sous prétexte des problèmes concernant la région chinoise du Xinjiang. Un boycott diplomatique se traduirait par l'absence de responsables américains lors des Jeux olympiques d'hiver 2022, qui auront lieu à Beijing en février prochain. Une telle décision n'affectera pas cependant les athlètes américains participants. Le ministère chinois des Affaires étrangères s'est exprimé sur ce sujet.

4 personnes ont été blessées lors d'une fusillade pendant un match de football de lycée dans l'État américain de l'Alabama. Une vidéo sur place montre que des personnes se précipitaient sur le terrain dans la ville de Mobile. Des athlètes sont vus allongés après que des coups de feu ont été tués. On peut entendre une voix qui demande aux gens de se mettre à l'abri et de se protéger. Selon les autorités, une personne a été hospitalisée en raison de blessures potentiellement mortelles et il y a également deux blessés mineurs.

Trois fusillades ont eu lieu vendredi et samedi aux États-Unis, faisant au moins deux morts et 31 blessés. À Savannah, en Géorgie, une personne est décédée et 8 autres, dont 2 enfants, ont été blessées lors d'une fusillade vendredi soir. Du côté sud de Chicago, deux hommes ont ouvert le feu sur des personnes se trouvant sur un trottoir samedi, faisant un mort et 9 autres blessés. Au moins 14 personnes ont été blessées, dont 2 grièvement, lors d'une fusillade de masse samedi au centre-ville d'Austin, au Texas. 

12 personnes ont été tuées et environ une cinquantaine blessée dans des fusillades à plusieurs endroits des États-Unis ce week-end.

Trois personnes ont été abattues et cinq autres blessées aux États-Unis, dans un bar de la ville de Youngstown, dans l'État de l'Ohio, tôt dimanche matin, selon un rapport de CNN, citant des sources de la police locale.

Aux États-Unis, sept personnes sont mortes dimanche matin, dont le tireur, qui s'est donné la mort, lors d'une fête d'anniversaire dans l'État du Colorado. Ce nouveau drame s'est déroulé après une fusillade à New York. Ces épisodes sanglants, impliquant des armes à feu, semblent se multiplier dans le pays depuis le début de l'année.

Trois fusillades distinctes ont endeuillé les États-Unis dimanche... Au moins six personnes ont perdu la vie et plusieurs autres ont été blessées au cours de fusillades survenues dans les États de Louisiane, du Texas et du Wisconsin. À Shreveport, en Louisiane, cinq personnes ont été hospitalisées après avoir été atteintes par des tirs lors d'une altercation dans un magasin de vente d'alcool. 

La police de l'État américain du Wisconsin dit avoir arrêté un suspect après une fusillade mortelle dans un bar. L'attaque, survenue dans le comté de Kenosha, a fait 3 morts et 3 blessés. Les autorités affirment que le tireur présumé fait face à une accusation d'homicide volontaire, avec d'autres actes d'accusation possibles à suivre. Il s'agit de la dernière d'une série de fusillades de masse aux États-Unis cette année, avec au moins 45 cas le mois dernier seulement, tel que rapporté par CNN.

Aux États-Unis, à Chicago, près d'un millier de personnes ont manifesté pour demander des mesures après la mort le mois dernier d'un garçon de 13 ans sous le feu de la police.

Aux États-Unis, les autorités ont identifié les huit personnes qui ont été tuées vendredi, lors d'une fusillade dans une installation FedEx à Indianapolis. Le tueur de 19 ans, Brandon Hole, a ensuite retourné l'arme sur lui-même. Le FBI dit que sa mère a averti les autorités l'année dernière qu'il allait commettre un suicide par les flics. Il s'agit d'une nouvelle fusillade de masse parmi une série qui a secoué les États-Unis cette année. 

La Chine se dit fermement opposée à ce que les États-Unis invitent Taïwan à ce qu'ils appellent un Sommet pour la démocratie le mois prochain. Un porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères déclare que l'île de Taïwan est une partie inaliénable du territoire chinois. Il indique que l'invitation est une réapparition de la pensée de la guerre froide, qui est largement remise en question et combattue par la communauté internationale.  

Les États-Unis ont récemment mené des actions odieuses dans la montée d’escalade à l’est de l’Ukraine. Sous l’ingérence américaine, l’Ukraine risque de se plonger dans un vaste conflit armé. Ce bouleversement en Ukraine n'est qu’une partie de l’iceberg, qui révèle l’intention des États-Unis de semer le chaos et saboter la paix mondiale sous prétexte de la démocratie.

Si les « intérêts » étaient le maître-mot de l'administration américaine précédente, les « valeurs » le sont pour la nouvelle administration américaine.

Depuis longtemps, le gouvernement américain accuse d'autres pays de violer les droits de l'homme. Mais les droits de l'homme des citoyens américains sont-ils protégés ? L'insistance de l'administration Trump à faire avancer l'agenda économique et à rejeter la faute sur les autres montre qu'elle est incapable de résoudre les menaces et les problèmes réels.