Selon les statistiques du site Web américain "Gun Violence Archive", au cours des six dernières années, plus de 230 000 personnes sont mortes dans des violences par armes à feu aux États-Unis, et 193 000 autres ont été blessées. Pendant longtemps, la prolifération des armes à feu a été une "maladie grave" incurable qui a toujours tourmenté la société américaine. L'épidémie incontrôlable de COVID-19 aux États-Unis aggrave encore cette maladie sociale. Selon les dernières données publiées le 4 décembre par le site Web américain "Gun Violence Archive", les violences par armes à feu ont fait 41 465 morts aux États-Unis depuis le début de l'année et il y a eu 654 fusillades.

L'échec du système politique et l'intensification des antagonismes sociaux ont plongé les États-Unis dans un cercle vicieux sur les problèmes liés aux armes à feu. Les nombreuses fusillades menacent la vie de la population américaine. ABC indique que les États-Unis souffrent d'une "épidémie de violences par armes à feu", qui ne s'est pas produite dans d'autres pays, jusqu'à ce que les États-Unis soient devenus synonymes de culture des armes à feu.

La liberté illimitée de posséder une arme à feu est désespérante. Shannon Watts, fondatrice de l'organisation américaine de contrôle des armes à feu "Moms Demand Action", a commenté sur son compte Twitter : "Ce n'est pas la liberté. Aucun autre pays ne tolérerait cela." Cependant, de telles voix n'ont suscité aucune vague aux États-Unis. Dans ce pays, la liberté illimitée de possession d'armes à feu a longtemps été une "maladie", devenant un problème insoluble. La "liberté américaine" apporte une tristesse sans fin.
(Photos : VCG)