Des chercheurs chinois ont dénoncé les politiciens anti-chinois aux États-Unis qui cherchent à priver la population du Xinjiang d'opportunités de développement en inventant des mensonges sur le "travail forcé" dans la région.
Ils ont dénoncé cette attitude vendredi lors d'une conférence de presse qui s'est tenue à Urumqi, capitale de la région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine.
Cao Wei, professeur associé à l'Université de Lanzhou, a indiqué que par crainte des sanctions des États-Unis, certaines entreprises n'osaient pas employer des travailleurs de l'ethnie Ouïgour, ce qui se traduira par une augmentation du taux de chômage et une baisse du niveau de vie de la population ouïgoure.
Ces politiciens anti-chinois aux États-Unis sont les coupables qui privent les habitants du Xinjiang de leurs opportunités de développement sous couvert de droits de l'homme, a-t-il déclaré.
Selon Ildos Murat, vice-président de la Fédération des syndicats du Xinjiang, les États-Unis sont le pays où le travail forcé est encore profondément enraciné au XXIe siècle, les immigrants en étant les principales victimes, et le gouvernement américain s'est soustrait à ses obligations de les protéger.
"Selon les recherches menées par des institutions universitaires aux États-Unis, au moins 500 000 personnes dans le pays sont soumises à l'esclavage moderne et au travail forcé", a-t-il expliqué. "Peu importe l'acharnement des forces anti-chinoises aux États-Unis à salir le Xinjiang sur les questions de travail, elles ne pourront jamais dissimuler la preuve irréfutable que les États-Unis ont violé les droits du travail".
(Source : Xinhua / Photo : VCG)