Dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang, dans le nord-ouest de la Chine, le gouvernement local et la population ont sérieusement condamné la signature par les États-Unis du projet de loi sur les droits de l'Homme des Ouïgours. Les participants au point de presse organisé vendredi ont déclaré que les États-Unis avaient pris la décision sur la base de mensonges sans fondement et avaient profondément blessé les sentiments de la population du Xinjiang. 

CGTN présente un programme spécial sur la lutte contre le terrorisme au Xinjiang. Tianshan : Toujours Debout est un documentaire de 60 minutes sur l'impact de la violence dans cette région. Il s'agit du troisième volet d'une série de documentaires. Zhao Lijian, porte-parole du ministère chinois des Affaires étrangères, a déclaré lors de la conférence de presse aujourd'hui : Le documentaire illustre clairement la nécessité de mener des travaux de lutte contre le terrorisme et de déradicalisation au Xinjiang, en utilisant des cas spécifiques. Il montre également les efforts considérables déployés par la Chine dans cet objectif.

Le 19 juin, China Media Group a diffusé sur la chaîne CGTN un documentaire intitulé « Tianshan : toujours debout - Mémoires du combat contre le terrorisme au Xinjiang ». Alors que l'administration américaine a adopté la soi-disant « Loi sur la politique des droits des Ouïgours 2020 », ce film, avec quantité de faits réels à l'appui, a révélé les crimes abominables commis par les terroristes dans le Xinjiang et réfuté les mensonges montés de toute pièce par des politiciens américains.

CGTN présente un programme spécial sur la lutte contre le terrorisme au Xinjiang. Tianshan : Toujours Debout est un documentaire de 60 minutes sur l'impact de la violence dans cette région. CGTN s'est entretenue avec plus de 30 survivants et des personnes ayant perdu un proche, tous du Xinjiang. Au cours des 30 dernières années, plusieurs milliers d'attaques ont frappé la région. Certains politiciens et médias occidentaux ont contesté la politique de la Chine. Tianshan : Toujours Debout est le troisième volet d'une série de documentaires. 

C'est une lutte à la vie à la mort, il y a du sang et des larmes : ce documentaire relate les récits personnels des survivants et des témoins, et révèle le bilan physique et psychologique des rescapés du terrorisme au cours des dernières décennies dans le Xinjiang. Il met en lumière la façon dont les habitants de la région affrontent la vie par la suite. Cette vidéo contient des images publiées pour la première fois. Nous recommandons aux téléspectateurs de faire preuve de réserve.

L'environnement de sécurité instable dans la préfecture de Hotan au Xinjiang en Chine a provoqué la création de l'une des premières unités d’intervention féminines. Les responsables de la police locale disent qu'elles sont plus polyvalentes et peuvent mieux gérer les suspects féminins que leurs homologues masculins.

L'extrémisme prend de nombreuses formes et parmi ses victimes les plus vulnérables figurent les femmes. À 14 ans, Bahargul Erkin a été forcée par son père à épouser un homme de 52 ans qui avait six femmes. Erkin a parlé à CGTN de l'influence de l'extrémisme au Xinjiang ainsi que de son évasion de ce mariage forcé.

Dans une interview accordée à CGTN, le grand mollah Memet Jume parle du traumatisme d'avoir été témoin de la mort de son père, le grand mollah Jume Tayir, lors d'une attaque à la mosquée Id Kah, dans le Xinjiang, en Chine, le 30 juillet 2014. Il a déclaré que malgré la peur persistante, il n'était pas du genre à se cacher à la maison. 

En 1998, lors d'un raid de police dans le Xinjiang en Chine, un terroriste s'est emparé d'un fusil muni du policier Long Fei, qu'il avait abattu. Deux mois plus tard, le terroriste s'est servi du même fusil pour abattre les policiers Kong Yongqiang et Nurtay Anwerbeg. 

Le 30 juillet 2014, le grand mollah Jume Tayir se dirigeait vers sa voiture après une prière du soir à la mosquée Id Kah lorsque trois terroristes se sont approchés de lui et l'ont tailladé à mort. CGTN a parlé au survivant Mirexmetjan Rozi, qui a déclaré que l'incident lui donnait toujours des frissons depuis. 

Dans une interview exclusive avec CGTN, le directeur général adjoint du département de la sécurité publique du Xinjiang, Yalqun Yaqup, a évoqué la nécessité de renforcer les mesures de sécurité dans cette région extrême-ouest de la Chine. 

Pendant des siècles, les Tadjiks chinois ont gardé la frontière ouest de la Chine dans le district de Taxkurgan. CGTN a parlé avec Tasha Memetrehim, qui représente la troisième génération de sa famille à être en service 24 heures sur 24 pour des patrouilles et des gardes de longue durée sur le lointain plateau du Pamir.

En 2014, Dilqemer Tursun avait 21 ans lorsqu'elle a perdu sa jambe lors d'une explosion terroriste dans un centre commercial du district de Luntai au Xinjiang. Dans son entretien avec CGTN, elle a donné un compte rendu de son vécu de l'attaque et a fait part de son expérience dans sa façon de surmonter la tragédie, trouvant même un sens à sa souffrance.

Au cours des dernières décennies, le Xinjiang a été pris pour cible par des groupes extrémistes cherchant à créer un califat dans la région. Pour réagir devant cet environnement de sécurité instable, l'équipe Hotan SWAT a organisé des exercices de tir à balles réelles pour se préparer au pire. 

Il y a vingt ans, des terroristes ont fait irruption chez le policier Xudaberdi Toxti dans le district de Zepu au Xinjiang et l'ont tué, lui ainsi que son fils. Sa deuxième fille, qui a survécu à l'agression, a raconté la tragédie et a emmené CGTN là où tout s'est passé.

Des milliers d'attaques terroristes, y compris des attentats à la bombe, ont eu lieu dans la région autonome ouïgoure du Xinjiang en Chine entre 1990 et 2016. Selon la police locale, la méthode utilisée par les extrémistes pour fabriquer des bombes s'est améliorée au fil du temps, passant de la dynamite aux engins explosifs improvisés et aux kamikazes. 

Il s'agit d'une histoire partielle des attentats terroristes au Xinjiang au cours des dernières décennies, racontée par des survivants et des témoins. Nous saluons le courage dont ils ont fait preuve en s'exprimant. Cette vidéo contient des scènes que certaines personnes pourraient trouver choquantes, elle est donc destinée à un public averti. Nous remercions tout particulièrement le compositeur et parolier Lei Zhenbang et le chanteur Dao Lang pour l'utilisation de la chanson Lotus des neiges sur le glacier du film Visiteurs sur le glacier de 1963.